Humour - Bureau



Le directeur du service demande à sa nouvelle secrétaire :
- Mademoiselle, que faites-vous dimanche soir ?
Elle est ravie, parce qu'elle le trouve super beau et cultivé.
- Je ne fais absolument rien, patron, dit-elle, espérant une invitation.
- Alors, vous n'aurez donc aucune raison d'arriver en retard lundi matin comme les trois dernières semaines.



La secrétaire s'enhardit. Elle rentre dans le bureau de son patron et lui dit :
- Monsieur le directeur, ça va faire huit ans que je suis votre secrétaire et jamais je ne vous ai demandé d'augmentation...
- Non, non, l'interrompt son patron, ce n'est pas tout à fait ça. C'est parce que vous ne m'avez jamais demandé d'augmentation que ça fait huit ans que vous êtes ma secrétaire...



Un gros industriel agonise. Assis à son chevet, son associé lui tient la main.
Soudain le mourant lui fait signe d'approcher encore plus près et murmure d'une voix faible :
Je veux libérer ma conscience avant de mourir ... le trou dans la caisse il y a 5 ans, c'était moi. Le faux incendie, c'était moi, le cambriolage l'an passé ... eh bien c'était encore moi !
Et pour ne rien te cacher, l'amant de ta femme eh bien c'était moi....
- Tu peux mourir en paix, dit l'autre. L'arsenic dans ton potage, c'est moi.



Le DRH d'une petite société reçoit une magnifique jeune fille (un vrai canon !), pour le poste de secrétaire.
- Sachez mademoiselle que nous sommes très à cheval sur l'exactitude, l'assiduité au travail, le silence dans les bureaux et la disponibilité de nos employés....
Puis il retire ses lunettes, regarde la jeune fille un instant et rajoute :
- En revanche, nous sommes assez coulants sur les histoires de fesses !



Un homme d'affaires se met en colère :
- Mademoiselle Laura, dit-il, je n'aime pas les secrétaires qui interprètent mes paroles. Je vous prie donc de noter mot pour mot ce que je vous dis.
Et le soir, la jeune fille lui donne à signer le texte suivant :
"Cher ami... Non... je ne vais pas appeler 'Cher ami' ce bandit, ce forban, cette crapule... Mettez 'Cher confrère...'. " Vous avez une triste façon de comprendre la probité commerciale... Non... N'écrivez pas cela... Je ne veux quand même pas lui dire en face que c'est un voleur... Rayez et inscrivez : Votre dernier envoi de sodas était... Passez-moi votre briquet... Zut ! J'ai perdu le fil ! Ah ! oui... était absolument imbuvable. On aurait cru de l'eau de vaisselle... Baissez un peu votre jupe, mademoiselle, je vois votre culotte rose... Qu'est-ce que je disais ? Si, cela se renouvelle... Pouah ! ce cigare est infumable... Je serai forcé de m'adresser à un de vos concurrents... De toute façon, ce sera la même bibine... Bon, allez, j'ai faim... Vous l'assurez de ma considération distinguée... A la bouffe ! A la bouffe ! ".



Deux secrétaires discutent :
- Il est plutôt beau gosse, le nouveau patron, dit la première.
En plus il s'habille bien...
- Et vite ... ! fait l'autre.



Il est possible de faire de substantielles économies en supprimant la climatisation de l'entreprise.
Moyen : il suffit de mettre d'un côté du bâtiment tous ceux qui brassent de l'air ...
Et de l'autre tous ceux qui nous le pompent !



C'est un jeune cadre dynamique qui s'apprête à quitter son bureau vers les 20 heures, lorsqu'il croise le directeur général de sa boîte en face du broyeur de documents, une feuille de papier à la main...
- Ah jeune homme ! Vous allez pouvoir m'aider avant de partir : ceci (en montrant son papier) est très important et ma secrétaire vient de partir. Sauriez-vous faire fonctionner cette machine?
Le jeunot répond :
- Certainement Monsieur.
Et il branche la prise, insère le papier dans la fente et celui-ci est aussitôt broyé.
- Excellent! dit le Directeur Général alors que son papier disparaît. Une copie suffira !



LETTRES REçUES PAR UN SUPéRIEUR HIéRARCHIQUE


Courrier N°1 :

Monsieur,

Durant ma collaboration avec M. ABC, il m'a toujours semblé
travailler consciencieusement à son bureau sans perdre de temps et sans
cancaner avec ses collègues de bureau. Très rarement, il
perd son temps en choses inutiles. Si on lui donne un travail, il
termine le travail qui lui est dévolu à temps. Il sera toujours
absorbé par son travail officiel, et ne pourra jamais être trouvé
en train de commérer à la cantine. Il n'a absolument aucune
vanité, en dépit de toutes ses réalisations et de la très grande
connaissance de son domaine d'activité. Je pense qu'on peut facilement
le mettre sur un piédestal, et nous ne devrions en aucun cas
faire sans lui. En fait, je pense réellement que M. Colas devrait être
sur le tableau d'avancement, et un formulaire de demande devrait être
expédié le plus tôt possible.

(Signé)
D. EFG
Chef de section

Courrier N°2 :
ABC éTAIT PRéSENT QUAND J'AI éCRIT LE RAPPORT QUI VOUS A éTé POSTé AUJOURD'HUI, VEUILLEZ NE LIRE QUE LES LIGNES IMPAIRES DE CE RAPPORT POUR CONNAîTRE MON RéEL SENTIMENT SUR M. ABC ...



Le patron à son employé :
- Est-ce que vous croyez à la vie après la mort?
- Heu, oui patron...
- Ah alors tout va bien. Parce que hier, après que vous ayez quitté le travail plus tôt pour aller à l'enterrement de votre grand-mère, elle est passée pour vous donner un petit bonjour.



Une femme jalouse fait irruption dans le bureau de son mari et trouve la secrétaire sur ses genoux.
Imperturbable, le mari, s'adresse à la secrétaire :
"Après la formule de politesse d'usage, veuillez rappeler au PDG que nous n'avons toujours qu'une seule chaise pour travailler à deux dans ce bureau ... ce qui n'est pas supportable !"



Un gars vient d'être engagé dans une grosse entreprise multi-nationale.
Dès son premier jour, il appelle au téléphone la cafétaria et crie :
"Apportez-moi un café ! Et en vitesse ! "
De l'autre côté, une voix répond :
" Je pense que vous avez composé une mauvaise extension. Savez-vous à qui vous parlez, espèce de crétin ? "
" Non " répond le jeune enragé.
"Je suis le directeur général de la société, imbécile "
Le type lui répond alors en criant 2 fois plus fort :
" Et vous, vous savez à qui vous parlez espèce de gros connard ? "
" Non " répond le directeur.
" Parfait " répond le type, et il raccroche son téléphone.



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