Humour - Longues



Une dame a acheté une armoire chez Ikea et a décidé de la monter toute seule, sans attendre son mari.
Elle regarde bien le plan et se met à l'ouvrage. Voilà, c'est fait. Mais en bas, dans la rue, un autobus passe.
Le sol vibre, et l'armoire se met à trembler, trembler et patatras, la voilà par terre.
La dame ne s'avoue pas vaincue. Elle reprend le montage, en suivant bien les étapes une après l'autre, elle ajoute même un point de colle ici et là... Voilà, c'est terminé.
Mais l'autobus qui fait la navette est revenu, et de nouveau le sol vibre, l'armoire tremble, tremble et plaf, elle s'effondre.
"Non d'une pipe, il y a comme un défaut", se dit la dame, et elle appelle le service après-vente Ikea.
On lui envoie aussitôt un technicien. En arrivant, celui-ci dépose sa sacoche, laisse son mégot dans le cendrier et déclare :
- Bien, voyons ça, je vais refaire le montage et nous verrons ce qui se passe.
Il assemble normalement et, en un quart d'heure, l'affaire est réglée.
- Hé bien, elle est très bien cette armoire, où est le problème ?
- Attendez un peu que le bus passe, et vous verrez ...
Le bus passe effectivement, et le sol vibre, l'armoire tremble, tremble et badaboum, elle tombe en miettes.
"Ah ça mais, que le grand cric me croque, j'aurai le dernier mot !" dit le technicien, et il recommence le montage, mais avec de la colle superforte, des vis supplémentaires, de grands coups de marteau... Là, c'est fait.
Et le bus qui continue son service passe dans la rue, et le sol vibre, l'armoire tremble, tremble, tremble et vlan, elle se retrouve en mille morceaux.
Le technicien se fâche : "Caramba, j'en aurai le cœur net. Je vais tout remonter normalement, et je vais me mettre à l'intérieur pour voir ce qui se passe quand ça vibre".
Et c'est à ce moment-là que le mari de la dame rentre du travail. Je dois préciser qu'il est très jaloux.
Tout de suite, il voit la sacoche, le mégot, et apostrophe sa femme :
"Tu me trompes, j'en suis sûr maintenant. à qui est cette sacoche ? Et ce cigare ?
Tiens, et cette armoire, c'est nouveau ! Ton amant est là-dedans, je le sais !". Et il ouvre l'armoire.
- Alors, qu'est-ce que vous foutez là, vous ?
- Ben, vous n'allez pas me croire, mais j'attends l'autobus...



Ce sont des touristes britanniques qui ont décidé de revenir passer leurs vacances en Corse.
Les britanniques sont vaccinés contre les attentats ayant affaire depuis quelques décennies aux artificiers Irlandais.
Ils débarquent dans ce joli village de pêcheur mais en arrivant déception, l'agence immobilière a explosé, le village de vacances a fait boum, le bureau de poste est parti en poussière , la banque a sauté, le restaurant du port a pris un coup de gîte et le complexe immobilier où ils auraient pu éventuellement louer un appartement a fait place à un grand trou.
Heureusement, il reste une Pizzeria toute neuve. Aussi, avant de repartir, ils décident de se restaurer.
Ils s'installent en Terrasse.
Le serveur s'approche d'eux et l'anglais dit au garçon : "hao , dites donc vos indépendantistes, ils sont encore plus fort que nos Irlandais !"
Le serveur lui répond : vous n'y êtes pas du tout, je ne devrais pas vous le dire, mais comme vous êtes anglais c'est comme si je me confiais à une tombe, aucun de ces attentats n'est le fait des indépendantistes.
- Et à qui donc alors ?, demande l'anglais.
- D'abord , il y a le restaurant du port. D'habitude, il prenait bien soin d'acheter son poisson à parts égales à nos deux pêcheurs, mais voilà la semaine dernière, le Dominique mariait sa fille et n'est donc pas parti en mer. Le patron du restaurant du port a donc acheté tout son poisson à l'autre pêcheur. On pense que cela à du faire un jaloux..
- Je vois, dit le touriste. Mais le complexe immobilier ?
- Là, répond le serveur, il semblerait que le promoteur, lorsqu'il a distribué les enveloppes aux élus, se soit trompé.
- Comment ça ?
- Il aurait mis dans les enveloppes de vrais billets de la Banque de France. Les élus se sont vexé, car ils ne veulent pas passer pour des caves. D'où on suppose l'explosion.
- Mais la Banque ?, dit l'anglais.
- Toute cette histoire était la faute de la Banque qui avait fourni les billets. D'habitude ce sont les élus qui vont directement échanger leurs faux billets contre des vrais à la Banque. Question de Prestige. On croit savoir que le promoteur s'est vengé.
- Parlez-nous du village de vacances, dit l'anglais.
- Oh ! C'est une histoire stupide, un quiproquo pour tout dire : à l'occasion de l'inauguration, des cartons d'invitation sont restés coincés dans la boite aux lettres de la Poste de sorte que beaucoup croyaient ne pas avoir été invité. Alors vous voyez, le nombre de suspects est vaste.
- Mais la Poste ... ?
- La Poste a explosé peu après quand les cartons qui étaient restés coincés ont été retrouvés par le receveur et qu'ils sont parvenus avec retard au leurs destinataires : c'était une manière d'excuse à l'égard du propriétaire du village de vacances. Une explosion due au sens du savoir vivre de nos concitoyens !!
- Vous ne nous avez pas parlé de l'agence immobilière... dit l'anglais. En général ce sont les indépendantistes qui s'attaquent à ce genre d'activité...
- Oh ! Le pauvre, celui-ci, il ne risquait rie ; en 40 ans, il n'avait vendu que des terrains fantômes à des gars du continent ou à des touristes comme vous, et jamais il ne se serait risqué à aliéner une seule parcelle de notre île.
- Mais comment a t-il pu exercer pendant quarante ans dans ces conditions ?
- Par la transaction : quand l'acheteur s'apercevait que son terrain n'existait pas, il préférait le revendre à bas prix plutôt que de faire un esclandre qui aurait pu tourner mal. Et Tino se faisait un devoir de toujours racheter les terrains fantômes qu'il avait vendu et notez-le bien jamais en-dessous du quart de la valeur... Un honnête homme !
- Alors l'agence pourquoi a t-elle sauté ?
- Et bien le Tino se voyant vieillir a voulu s'offrir une concession au cimetière. Et il l'a acheté du côté du clan de sa femme plutôt que du côté de son clan.
- Et alors ?
- Tino n'aurait jamais du acheter un terrain pour de vrai, c'était pas sa spécialité : il a fallu l'enterrer sous le portail d'entrée, pour froisser personne !!!
- Bon, dit l'anglais, je comprends mieux, je vois bien que nous avions tort de nous inquiéter car en définitive, il ne s'agit que de questions de politesse et les touristes comme nous ne sont pas menacés. Aussi, maintenant vous allez nous servir 4 bonnes pizzas ...
- Malheureusement je ne peux pas dit le serveur, l'établissement n'est pas encore inauguré ...
- Et qu'attendez vous pour le faire ?
- Nous ne savons pas à qui servir la première pizza sans vexer personne...il faut attendre la fin des conciliabules.



Au cours d'une discussion dans un bar, un gars lance à la cantonade :
- Hé ben moi les gars, je connais tout le monde sur la planète personnellement et je suis prêt à tenir un pari pour 50 000 francs !
Son voisin lui dit :
- N'importe quoi. C'est rigoureusement impossible. Tiens par exemple, moi, est-ce que tu me connais ?
Le gars répond :
- Oui bien sûr. Tu ne te souviens pas ? On s'est rencontrés à la fête de l'huma en 1974. Je m'appelle Robert Glandu, ça ne te dit plus rien ?
Le voisin répond :
- D'accord, c'est vrai, je me souviens maintenant. Mais je n'arrive toujours pas à croire que tu puisses connaître rigoureusement tout le monde ! Par exemple, est-ce que tu connais Lionel Jospin ?
Et Robert Glandu répond :
- Ouais monsieur. Même que l'été, il m'arrive d'aller lui dire bonjour chez lui, à Cintegabelle. Tu veux que je te prouve qu'on se connaît ?
Et Robert Glandu prend le téléphone du bar, compose le numéro perso de Jospin... Et parle avec lui pendant 20 minutes en ayant soin de prouver au gars du bar qu'il parlait bien au 1er ministre.
Le voisin de bar est assez estomaqué, mais pas encore convaincu. Alors il demande :
- Et le pape ? Je suis sûr que tu ne connais pas le pape !
Robert Glandu lui certifie le contraire, mais plutôt que des longs discours, il propose d'aller directement vérifier au Vatican. Les frais d'avion étant pris en charge par celui qui aura perdu le pari.
Les voilà tous les deux en route pour le Vatican.
Dès leur arrivée, Robert demande une audience au Pape, qui l'accorde tout de suite.
Le voisin du bar reste sur la place Saint-Marc car Robert Glandu lui a dit qu'il apparaîtrait au balcon en compagnie de Jean Paul II...
Et effectivement, lorsque le pape apparaît au balcon, Robert Glandu est à ses côtés.
à ce moment-là, Robert Glandu, de son balcon papal, voit le voisin de bar avec qui il a fait son pari tomber dans les pommes. Sans tarder, il court sur la place voir ce qu'il en est et une fois au chevet du gars, il lui demande ce qui s'est passé. Le voisin de bar lui répond :
- Que tu me connaisses OK. Que tu connaisses bien le barman, OK. Que tu sois pote avec Jospin, d'accord. Mais qu'au moment où tu apparaisses au côté du pape, mon voisin sur la place me demande : "Qui c'est le type à côté de Robert Glandu ?", là c'était trop !



Un homme d'affaire américain prend l'avion pour aller jouer à la roulette pendant le week-end à Las Vegas.
Il perd sa chemise le samedi soir et n'a plus que cinq cents en poche et son billet de retour pour rentrer chez lui. (Prévoyant, il n'a pris aucun chèque et aucune carte de crédit).
Malheureusement, il lui faut aller à l'aéroport pour rentrer chez lui ...
Alors il va vers le chauffeur de taxi qui attend devant le casino et lui explique sa situation.
Il promet d'expédier l'argent au chauffeur depuis chez lui, une fois qu'il sera rentré. Il lui propose même de garder son permis de conduire en gage... mais le chauffeur de taxi est intraitable :
"Si vous n'avez pas les 15 dollars de la course jusqu'à l'aéroport, sortez de mon taxi !"
Alors l'homme d'affaire descend du taxi et commence à faire du stop pour aller jusqu'à l'aéroport. Naturellement, il rate son avion...
Une année plus tard, l'homme d'affaires est de retour à Las Vegas dans le même casino.
Cette fois-ci, il a beaucoup gagné. Et lorsque vient le moment de prendre le chemin de l'aéroport, il s'avance vers la queue de taxis... et qui voit-il en dernière position dans la file de taxis? Son "ami" qui l'avait envoyé paître l'année précédente !
Alors il lui vient une idée.
Il s'avance vers le taxi en tête de station et demande au chauffeur :
-Combien pour une course jusqu'à l'aéroport ?
- 15 dollars ...
- Et combien en plus si je vous demande de me faire une pipe avant d'arriver là-bas ?
- Quoi !? Va te faire foutre connard !!!!
Ensuite l'homme d'affaire fait le second chauffeur de taxi, avec les mêmes questions, et obtient les mêmes réponses... et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'il arrive au dernier taxi, celui de son "ami" intraitable.
à ce moment-là, il monte à l'arrière du taxi et dit :
- Combien pour une course jusqu'à l'aéroport ?
- 15 dollars.
- C'est d'accord, répond l'homme d'affaires.
Et le taxi démarre...
Au moment où ils sont en train de doubler toute la file de taxis, l'homme d'affaires se met à la fenêtre du taxi, et regarde chaque chauffeur de taxi de la queue avec un grand sourire aux lèvres en faisant le signe du pouce levé !



Hit parade des livres les moins épais au monde :
26. Les meilleurs plats de la cuisine anglaise traditionnelle
25. La stratégie éthiopienne pour dominer le monde
24. "Une vie vertueuse" par Bill Clinton
23. Les avocats américains les plus populaires
22. "L'hospitalité, la politesse, la modestie: les 3 piliers de la France d'aujourd'hui"
21. Les droits de l'homme en Chine
20. Tout ce que les hommes savent des femmes
19. Tout ce que les femmes savent des hommes
18. Balladur : mes années rebelles
17. "Facilitez-vous la vie avec Microsoft"
16. "Vacances réussies à Charleroi"
15. Cinq siècles d'humour germanique
14. Les archives du programme spatial mexicain
13. Opportunités de carrières pour les diplomés en sociologie
12. "Toutes les femmes de ma vie" par Jimmy Sommerville
11. "Mon plan pour trouver l'assassin de ma femme" par O.J. Simpson
10. Mes meilleures histoires drôles par le Pr Schwartzenberg
9. "La transparence financiere" publiée par le parti socialiste
8. "Les gens m'aiment pour ce que je suis" par Jacques Vergès
7. La générosite néerlandaise à travers les siècles
6. "Les clefs de mon succès" par Patrick Topaloff
5. "Guide de bonne conduite lors des rendez-vous galants" par Mike Tyson
5'. (du même auteur : L'importance du Fair-Play)
4. "Toutes mes bonnes actions" par Adolf H.
3. Les usages ménagers de l'uranium 235
2. L'annuaire téléphonique amish
1. "Le guide pratique de la tolérance" publie par l'extrême droite



Donc, c'est un voyageur de commerce qui passe toute la semaine sur la route. Il rentre chez lui tous les week-ends, et nous sommes justement un vendredi soir, tard, la nuit est bien avancée. Il est encore au volant et il lui reste pas mal de chemin à faire.
Il se trouve dans un coin paumé, le dernier bled qu'il a traversé est déjà à une bonne vingtaine de kilomètres - le suivant n'est pas plus proche - lorsqu'une de ses roues crève. Comme c'est son boulot d'être sur la route et qu'il est organisé, il sait que sa roue de secours est OK, il ne se fait pas de soucis et se met en devoir de réparer ça. Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue, puis s'aperçoit qu'il n'a pas son cric. Effectivement, le week-end précédent, il s'en est servi et ne l'a pas rangé.
Il n'a d'autre alternative que s'armer de courage et de partir à pieds au dernier village qu'il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un garagiste qui devrait pouvoir lui vendre un cric.
C'est donc une longue marche qui l'attend. Comme on est en hiver, une pluie pénétrante commence à tomber et à le glacer jusqu'aux os. Il est dans le noir complet, sa lampe électrique ayant rendu l'âme quelques kilomètres après son départ.
Il commence donc à ressasser de noires pensées, et à se parler à lui-même :
- Est-ce qu'au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ?
- Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. Mais, le mec, il va te voir venir, ... dans ta situation, il va au moins t'en demander 500 balles ...
Quelques kilomètres passent, et il continue à rouméguer (terme occitan dont la sonorité suffit à comprendre la signification) :
- Tu parles, il peut même t'en demander 1000 balles, de toutes façons, t'as pas le choix.
Exacerbé par l'absurdité de la situation, par les éléments qui se déchaînent contre lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, et il continue son dialogue intérieur :
- T'es complètement à sa merci, mec. Il peut même te le vendre 2000 balles, son cric, et toi, comme un con, t'auras qu'à la fermer et payer ...
Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit l'enseigne du garage. Il rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, continuant à rouscailler :
- Tu vas voir que ce connard est capable de t'en demander 3000, 4000 balles. Tu parles, c'est pas tous les jours qu'il trouvera un tel pigeon.
Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. Pas de réponse. Il s'active derechef pieds et poings contre le portail, une tête hagarde de sommeil se pointe alors à une fenêtre du premier étage. C'est alors que le voyageur de commerce, au comble de la fureur et avant que l'autre ait pu placer un mot, lui hurle :
- ESPèCE D'EN..Lé, TU SAIS OU TU PEUX TE LE COLLER, TON CRIC ?!?!!



L'été arrive : supprimez le stress des régimes amaigrissants.

PETIT DEJEUNER
1 pamplemousse
1 tranche de pain complet grillée
25 cl de lait écrémé

DEJEUNER
125 g de blanc de poulet grille, sans peau
150 g d'épinards cuits a la vapeur
1 tasse de tisane
1 Pepito

QUATRE HEURE
Tout le reste du paquet de Pepitos
2 cartons de glace Haagen-Dasz, de préférence avec noisettes, amandes, crème
Chantilly à volonté
1 pot de sauce fudge

DINER
2 baguettes grillées, beurrées et frottées d'ail
4 canettes de Coca-Cola
1 grande pizza Margherita
3 barres Mars

AU COUCHER
1 Cheesecake Picard Surgelés (juste sorti du congélateur)

QUELQUES PRINCIPES POUR SUIVRE CE REGIME
1. Ce que vous mangez sans que personne ne le voie ne contient pas de calories.
2. Si vous consommez un soda de régime avec un Bounty, les calories du Bounty sont annulées par le soda de régime.
3. Les calories de ce que vous mangez en compagnie d'une autre personne ne comptent pas si la personne mange plus que vous.
4. Les aliments consommés dans un but thérapeutique n'ont JAMAIS aucune valeur calorique : chocolat chaud, whisky, toasts beurrés et cheesecake Picard Surgelés.
5. Si vous réussissez à engraisser tout le monde autour de vous, ça vous donnera l'air plus mince.
6. Les aliments consommés dans les salles de cinéma ne contiennent pas de calories, car ils relèvent de la distraction et non de l'alimentation. Exemples : pop-corn, Chocoletti, fraises Tagada, esquimaux glacés.
7. Les morceaux de cookies ne contiennent pas de calories. L'action de briser les cookies entraîne une fuite calorique.
8. Ce que vous léchez sur les cuillères ou sur les couteaux ne contient pas de calories si vous êtes en train de faire la cuisine.
9. Les aliments de même couleur ont le même nombre de calories. Exemples : épinards et glace pistache ; mayonnaise et purée de pommes de terre.
10. La couleur chocolat est la couleur alimentaire universelle. On doit substituer le chocolat à tout autre colorant alimentaire.
11. Ce que l'on consomme debout ne contient jamais de calories. Ce phénomène est du à la gravité et à la densité de la masse calorique.
12. Ce que vous prenez dans l'assiette de votre voisin ne contient jamais de calories. En effet, les calories d'une autre assiette appartiennent au possesseur de cette assiette et s'accrochent donc à celle-ci (nous savons tous combien les calories s'accrochent ! )



Une bien belle histoire :
Une compagnie cherchait à renouveler son personnel, une des questions de l'examen était :
Vous êtes en train de conduire votre voiture pendant une nuit de violent orage.
Vous passez à coté d'une station de bus dans laquelle des gens attendent :
- Une vieille dame qui semble être sur le point de mourir.
- Un docteur qui vous a déjà sauvé la vie une fois.
- Un/Une homme/femme de vos rêves.

Vous ne pouvez prendre qu'une personne dans votre Z3M.
Que faites-vous ?
Expliquez votre réponse. Pensez-y avant de lire la suite.
.
.
.
.
Ceci est un test de personnalité. Chaque réponse peut trouver un raisonnement correct.
Vous pouvez prendre la vieille dame et ainsi lui sauver la vie.
Vous pouvez prendre le docteur en remerciement de vous avoir sauvé la vie.
Ce serait une bonne manière de lui rendre la pareille.
Vous pouvez penser que l'occasion de lui rendre la pareille pourra se renouveler et partir avec la personne dont vous avez toujours rêvé car cette chance risque de ne plus se reproduire.

Une personne sur les 200 candidats s'est illustrée par sa réponse exemplaire,
QUELLE FUT SA REPONSE ??????
. . . . .
Pensez-y encore ... . .
Il a simplement répondu : "Je donne les clefs de ma voiture au docteur, le laisse prendre la vieille dame pour l'emmener à l'hôpital, et ainsi je me retrouve seul avec la personne de mes rêves à attendre le bus. "



Voici des choses qui n'arrivent qu'au cinéma :

- Tous les lits ont des draps spéciaux qui s'arrêtent au niveau des aisselles de la femme, mais seulement au niveau de la taille de l'homme allongé à ses côtés.
- Une fois appliqué, le rouge à lèvres ou le mascara ne part ni ne coule, même en faisant de la plongée sous-marine.
- Le système de ventilation de n'importe quel bâtiment est le parfait endroit pour se cacher. Là, personne ne pensera à vous chercher et en plus, vous pouvez accéder à toutes les pièces de l'édifice sans aucun problème.
- Tout le monde sait se servir d'un ordinateur, même les moins répandus, et ceux-ci ne plantent jamais ... sauf si c'est le sujet du film.
- Pour se faire passer pour un officier allemand, inutile de savoir parler la langue. L'accent allemand suffit.
- La Tour Eiffel est visible depuis toutes les fenêtres de Paris.
- Personne ne finit son verre ou ne ferme sa voiture à clé.
- On peut inoculer un virus informatique à un robot ménager.
- Les méchants sont toujours perdants à la fin.
- Un homme se prendra des coups sans broncher mais sursautera quand une femme nettoiera ses blessures.
- Une simple allumette suffit pour éclairer une pièce de la taille d'un terrain de foot.
- Toutes les femmes célibataires ont un chat.
- N'importe quelle personne se réveillant d'un cauchemar se tient droite comme un piquet, est en sueur et halète.
- Même si vous conduisez sur une avenue parfaitement droite, il est nécessaire de tourner vigoureusement le volant de temps en temps.
- Pour payer le taxi, il ne faut jamais regarder son portefeuille, chaque billet tendu correspond au prix exact. D'ailleurs on trouve des taxis dès qu'on lève le bras.
- Si votre ligne téléphonique est coupée, il faut taper frénétiquement sur le combiné en disant "Allô ! Allô !" pour rétablir la ligne.
- On peut toujours se garer en bas de l'immeuble où l'on veut aller.
- Les armes sont comme des rasoirs jetables, quand le chargeur est vide, on jette l'arme, ça s'achète facilement ces trucs-là.



La langue allemande est relativement facile.
La personne qui sait le latin et est habituée à faire des déclinaisons, l'apprend sans grandes difficultés.
C'est ce que les professeurs d'allemand disent lors de la première leçon. Ensuite on commence à étudier le der, des, den, dem, die et ils disent que tout est une suite logique. C'est donc facile, et pour s'en rendre compte, on va regarder un cas d'un peu plus près :
En premier, vous achetez Le livre d'allemand. C'est un livre magnifique fourré d'une toile, publié à Dortmund et qui raconte les us et coutumes des Hotentots (auf Deutsch : Hottentotten).
Le livre raconte que les kangourous (Beutelratten) sont capturés et placés en cages (Kotter), couvertes d'un tissu (Lattengitter) pour les abriter des intempéries. Ces cages s'appellent en allemand cages couvertes de tissu (Lattengitterkotter) et lorsqu'elles contiennent un kangourou, ça s'appelle (Lattengitterkotterbeutelratten).
Un jour les Hotentots arrêtèrent un assassin (Attentater), accusé d'avoir tué une mère (Mutter) hotentote (Hottentottenmutter), mère d'un fils bête et bégayeur (Stottertrottel). Cette mère se dit en allemand "Hottentottenstottertrottelmutter" et son assassin s'appelle "Hottentottenstottertrottelmutterattentater".
La police capture l'assassin et le met provisoirement dans une cage à kangourou (Beutelrattenlattengitterkotter), mais le prisonnier s'échappe.
Tout de suite commencent les recherches et soudain vient un guerrier Hotentot en criant :
- J'ai capturé l'assassin (Attentater).
- Oui ? Lequel ?, demande le chef.
- Le Lattengitterkotterbeutelratterattentater, répond le guerrier.
- Comment l'assassin qui est dans la cage à kangourous couverte d'une toile ? Demande le chef des hotentotes.
- C'est, -répond l'indigène- le Hottentottenstottertrottelmutterattentater.(L'assassin de la mère hotentote de l'enfant bête et bégayeur).
- Mais, bien sûr, répond le chef hotentote- t'aurais pu dire tout de suite que tu avais capturé le Hottentottenstottertrottelmutterlattengitterkotterbeutelrattenattentater

Comme vous pouvez le constater, l'allemand est une langue facile. Il suffit de s'y intéresser...



Le 1er janvier 2002 sans un seul Euro en poche mais le porte monnaie encore plein de Francs, je vais chez ma boulangère préférée lui présenter mes meilleurs voeux et acheter une baguette bien croustillante. Après les salamalecs d'usage ...
- C'est combien la baguette maintenant ?
- 4,30 FF comme d'hab. !
- Oui, mais à partir d'aujourd'hui c'est en Euro.
- Ah ! J'oubliais, un petit coup d'EuroCalculette... : et voilà, ça fait 0,66 Euro.
- 0,66 Euro, ok, mais au fait 0,66 Euro ça fait combien de Francs? (un petit coup d'EuroCalculette) Hé ! Mais ça fait 4,33 FF, ma baguette a augmenté de 3 centimes.
- Euh ! Ben j'sais pas, mais c'est quand même toujours le même prix.
- Ouais, ça doit être une hausse mécanique... dis-je très technocratique. Bien, si j'ai tout compris je vous donne une pièce de 5 FF et vous me rendez la monnaie en Euro ?
- Tout à fait (elle est très "mode" ma boulangère, elle ne dit plus "oui");
- Bon, alors 5 FF, ça fait (un petit coup d'EuroCalculette... hé oui, à force d'utiliser ce truc je n'arrive toujours pas à faire le calcul de tête) : 5 FF c'est 0,76 Euro, moins 0,66 Euro la baguette, vous me rendez 10 centimes d'Euro. Certains disent 10 cents, mais on peut confondre avec les US, c'est déjà pas si simple ...
- Chouette ma première pièce en Euro ! Et en Francs c'est combien ?
- 0,10 Euro
- (un petit coup d'EuroCalculette) 0,10 Euro = 0,66 FF. Tiens? c'est comme le prix de la baguette en Euro, mais attendez : 5 FF moins 0,66 FF, ça me met la baguette à 4,34 FF ?
- Euh ! Ben j'sais pas, mais c'est quand même toujours le même prix.
- A mon avis vous allez la répéter souvent cette phrase aujourd'hui.
Tout compte fait, je me demande si je ne devrais pas prendre 2 baguettes. Voyons: 4,30 x 2 = 8,60 FF, soit après un petit coup d'EuroCalculette : 1,31 Euro, tiens 2 baguettes coûtent moins cher que 2 fois une baguette, c'est " transcendant " ce truc ! Et si je paie avec une pièce de 10 FF = 1,52 Euro moins 1,31 Euro les 2 baguettes = 0,21 Euro donc 1,38 FF ce qui me met la baguette à (10-1,38) = 8,62 FF/2 soit 4,31 FF.
Conclusion :
La baguette qui coûte 4,30 F coûte désormais : 4,34 FF si vous l'achetez à l'unité et 4,31 FF si vous les achetez par 2... mais c'est quand même toujours le même prix (en Euro).
C'est donc un peu plus cher que quand c'est moins cher, mais ça reste moins cher que quand c'est plus cher !
C'est Diiiiiiiingue!!!



C'est un couple de personnes âgées. Monsieur est dans la septantaine et Madame dans la soixantaine. Ils ont rendez-vous chez le médecin pour savoir s'il ne leur serait pas possible d'avoir un enfant.
Au départ, le docteur essaie de les en dissuader, mais à force d'insister, le médecin se laisse convaincre.
Naturellement, les risques liés à l'âge font que c'est la conception in vitro qui sera choisie. à cet effet, le médecin fournit au Monsieur un flacon qu'il est censé remplir avec du sperme. Ceci dans le but d'évaluer la qualité de la semence.
Monsieur est donc conduit dans une salle contiguë à la salle de consultation pour qu'il procède à une bonne éjaculation.
30 minutes passent, au terme desquelles le vieux monsieur ouvre la porte et demande à sa femme de venir le rejoindre. L'attente continue ensuite.
Trois quart d'heure, puis une heure...
Finalement, au bout d'une heure et quart, le vieux monsieur revient dans le bureau du médecin, en tenant son petit flacon vide, et avec un air bien embarrassé. Il dit :
- J'ai essayé avec ma main droite pendant une demi-heure, puis avec ma main gauche pendant une autre demi-heure, sans y arriver.
Ensuite, je l'ai tenu à la base pendant que ma femme le tirait à l'autre bout des deux mains pendant encore 15 minutes.
Ma femme a même enlevé son dentier et en a enserré le bout mais toujours sans succès.
Essayez vous-même, vous verrez bien : impossible de venir à bout de ce satané couvercle !



Monsieur l'assureur,
Je vous écris en réponse à la demande d'informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J'ai précisé : "manque de chance" dans la case réservée aux "causes du sinistre" et vous me demandez des précisions.
Je suis couvreur de formation. Le jour de l'accident, je travaillais seul sur le toit d'un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi là, j'ai constaté qu'il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120kg. Plutôt que de descendre à la main, j'ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce à une poulie fixée au 6ème étage.
J'ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l'immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manœuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 kg. Dès que le monte-charge s'est retrouvé suspendu en l'air, j'ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n'ais pas eu la présence d'esprit de lâcher la corde. J'ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l'immeuble et, au niveau du 3ème étage, j'ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précédent.
Mon ascension s'est toutefois ralentie au niveau du 6ème étage et s'est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j'avais mentionnées. Suspendu en l'air et malgré la douleur intense, je n'ai pas lâché prise. Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol.
Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j'ai commencé une rapide descente vers le bas. Au niveau du troisième étage, comme vous l'imaginez, j'ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente, si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m'a causée qu'une simple fracture du genou.
Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l'enfoncement de la cage thoracique, que j'ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente, ne vous aura sans doute pas échappé. J'ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n'ai pas eu la présence d'esprit de tenir la corde quelques secondes de plus. J'étais dans l'incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 kg a entamé sa rapide descente...
Très cordialement.
....



Un voyageur se perd dans une région désertique en Tunisie.
Voyant que sa seule chance de survie est de retrouver la civilisation, il marche dans la direction qu'il pense être celle de la ville.
Le temps passe, et il commence à avoir soif.
Le temps passe encore et il est vraiment assoiffé.
Le temps n'en finit plus de passer et le voilà en train de ramper...
Et alors qu'il est sur le point d'abandonner et de se laisser mourir, il aperçoit une tente à environ 500 m de lui.
Il récupère ses dernières forces, et continue à ramper jusqu'à la tente.
Là il essaie de crier :"De l'eau de l'eau..."
Un bédouin sort de la tente et lui répond :
"Oh, je suis terriblement désolé, mais je n'ai pas d'eau à vous proposer.
Mais je peux vous proposer d'acheter une de ces cravates à un prix très abordable" et il brandit un lot de cravates en soie...
"Vous êtes fou ou idiot ! Qu'ai-je à faire d'une cravate? Il me faut de l'eau sinon je vais mourir ..."
Alors le bédouin lui répond :
"Si vraiment vous voulez de l'eau, alors vous pourrez en trouver à deux kilomètres au sud d'ici. Il y a une autre tente là-bas!"
Sans savoir comment, notre voyageur trouve suffisamment de forces pour traîner son corps jusqu'à la seconde tente.
Là il s'effondre à nouveau et gémit : "De l'eau, de l'eau ... "
Alors un bédouin en smoking sort de la tente et lui demande :
"Puis-je vous aider Monsieur ?"
"Donnez-moi de l'eau, s'il vous plaît ... " demande le voyageur.
"Oh, Monsieur," répond le bédouin, "Je suis vraiment désolé. Nous avons de l'eau à l'intérieur, mais vous ne pouvez pas entrer sans cravate !"



Un athée (et qui le revendique) est assis sur un banc dans un jardin public.
Un curé en soutane (c'est pour qu'on sache que c'est un curé ) vient s'assoir à côté de lui sur le banc.
L'athée dit :
- Comment pouvez-vous croire en Dieu ? Vous pensez bien qu'une telle chose ne peut exister !
Le curé répond :
- Comment pouvez-vous dire une telle chose mon fils? Bien sûr que Dieu existe ! Regardez tout autour de vous : tout cela est son œuvre !
L'athée reprend :
- Allez, vous voyez bien ce que je veux dire, le monde est tellement... incongru. Il est impossible que tout cela ai été créé par un Dieu.
Prenez le colibri : toute sa vie, il butine de fleur en fleur et il n'a pas besoin d'aller très loin pour trouver du nectar. Il passe toute sa vie dans un très petit endroit et pourtant, il pourrait voler partout dans le monde !
Et maintenant, prenez l'hippopotame. Gros, lourd, pataud... il a besoin d'une centaine de kilos de nourriture par jour et pourtant, il ne peut pas se déplacer très loin pour la trouver.
Oui, cet hippopotame devrait pouvoir se déplacer plus librement de manière à trouver plus facilement sa nourriture. Pourquoi donc est-ce que les hippopotames ne volent pas ?
Non mais, je vous pose la question : hein ?!
Et à ce moment-là, une mouette qui passait au dessus du parc lache son bol fécal (i.e. la mouette fiente) juste entre les deux yeux de l'athée !
Et le curé dit en souriant :
- Je pense que vous avez votre réponse, et elle vient d'en haut !



C'est un mari et sa femme qui passent une semaine au ski.
Alors qu'ils sont dans le télécabine pour monter à 3000 mètres, la femme dit à l'oreille de son mari qu'elle a un besoin URGENT de faire pipi. Le mari lui répond de ne pas s'en faire : il y a toujours un chalet restaurant à l'arrivée des télécabines.
Mais à l'arrivée, le chalet restaurant est fermé... et voilà la dame les jambes encore plus serrées.
Voyant, au cours de la descente, que sa femme ne peut plus rien faire de bon, le mari lui suggère d'aller trouver le premier groupe de rochers, et de satisfaire ce besoin pressant. Il lui dit :
- Vas-y n'aie pas peur, de toute façon, personne ne te repérera avec ta tenue blanche !
Alors la femme va s'installer, mais elle garde les skis chaussés, malheureusement pour elle !
Car les skis se mettent à glisser et la voilà qui descend la pente, à reculons en plus, le cul à l'air et le pantalon de ski sur les genoux.
Elle prend de la vitesse, et comme elle n'a aucun moyen de se diriger, elle continue tout droit, le cul en premier.
Finalement, elle percute un pylone. Malheureusement pour elle, elle se casse un bras dans l'histoire et elle ne peut pas remonter son pantalon de ski. Ce n'est que quand son mari vient la rejoindre que sa nudité peut enfin être cachée des yeux du public.
Ensuite, les sauveteurs viennent la chercher avec la moto-neige et le brancard ; elle est amenée en bas des pistes, puis transportée à l'hôpital.
Sur place, on lui pose un plâtre sur le bras, puis on la place dans la chambre d'un gars qui a la jambe dans le plâtre.
Elle engage la conversation :
- Comment vous êtes-vous cassé la jambe ?
Le gars lui répond :
- C'est une histoire incroyable : j'étais sur un télésiège pour monter en haut des pistes lorsque j'ai vu une femme descendre une piste de ski, le postérieur tout nu à l'air, le pantalon de ski baissé sur les genoux, et en plus, à reculon !
Pour mieux voir, je me suis penché mais je n'ai pas réalisé que j'étais bien trop penché en dehors du télésiège, et je suis tombé. D'où ma fracture du tibia... Et vous, comment vous êtes-vous cassé le bras ?



Un jour, un gars se rend compte qu'il a de nouveaux voisins.
C'est l'été et très rapidement, la jeune femme va prendre l'habitude de passer l'après-midi dans son jardin à savourer les caresses du soleil sur sa peau à peine couverte d'un minuscule bikini.
Notre gars, qui a du temps à perdre, va ainsi pouvoir se rendre compte que sa voisine possède une plastique formidable, et des seins que n'aurait pas reniés Russ Meyer.
à tel point que pour ne rien perdre du spectacle, il va se mettre à tondre sa pelouse tous les 3 jours et à arroser son le jardin tous les après-midi ...
Mais cette technique ne fait qu'accentuer son désir complétement irraisonné et un beau jour, il craque. Il prend son courage de la main droite, et va frapper à la porte de ses voisins.
C'est le mari qui lui ouvre. notre gars lui dit :
- écoutez... Je n'en peux plus. Depuis que vous vous êtes installés près de chez moi, je ne peux plus mener la vie que je menais avant. La beauté de votre femme est tellement envoutante ...
Le mari répond :
- De quoi ?
Notre gars :
- Enfin oui. Ce que je veux dire, c'est que depuis qu'elle prend des bains de soleil, je ne peux pas m'empêcher d'observer sa poitrine...
Ah, tenez, je vous propose 10.000 frs pour pouvoir embrasser ses seins !
Le mari est sur le point de balancer notre gars dehors lorsque sa femme surgit et le tire par la manche.
Ils discutent à voix basse, et finalement, le mari s'adresse à notre gars pour lui dire :
- C'est d'accord. Pour 10.000 frs, vous pouvez embrasser les seins de ma femme.
Alors la femme déboutonne son chemisier et offre à notre gars les objets de son désir.
Il prend alors un sein dans chaque main (bon, ça déborde un peu puisqu'on joue ultravixens), et enfouit carrément son visage dans l'opulente poitrine.
C'est l'extase ... ça dure comme ça plusieurs minutes, jusqu'à ce que le mari dise :
- Bon, eh, oh, ça va bien maintenant. Vous les embrassez et basta !
Notre gars marmonne entre les sein s:
- Je peux pas...
- Et pourquoi vous pouvez pas?
- Parce que j'ai pas 10.000 Frs



LES CHOSES QUE VOUS NE VOULEZ PAS ENTENDRE PENDANT VOTRE OPéRATION CHIRURGICALE :

"On va mettre ça de côté. On en aura besoin pour l'autopsie."
"Accepte ce sacrifice, O Seigneur des Ténèbres"
"Rambo! Rambo! Reviens ici avec ça ! Vilain chien !"
"Attends une minute... Si ça c'est la rate, alors ceci, qu'est-ce que c'est ?"
"Tiens moi cette.... Euh .... Cette euh .... chose-là."
"Oh merde ! Ma Rolex est tombée au fond."
"Oups ! Hé, Vous connaissez quelqu'un qui a survécu à une perf. de 500ml de KCl ?"
"Oh la vache !, y a encore les plombs qui ont sauté. J'y vois plus rien... "
"Tu sais que ça vaut cher un rein sur le marché des organes !? En plus ce gars-là en a encore deux sur lui !"
"Personne ne bouge ! J'ai perdu mes lentilles de contact !"
"Quelqu'un pourrait empêcher cette chose de battre ? ça me coupe la concentration..."
"Qu'est-ce que ce truc fait ici ?"
"Waow ! Quelqu'un a un appareil photo ?"
"Je déteste quand il manque des pièces dans le moteur..."
"Voilà c'est fini. J'espère que je n'ai rien oublié à l'intérieur comme l'autre fois."
"Eh bien les gars, ça va être une première pour nous tous !"
"Stérile, stérile ?... La femme de ménage a lavé par terre, non ?"
"Qu'est-ce que tu veux dire par 'Il n'était pas venu ici pour changer de sexe'?"
"Quelqu'un sait où est passé le bistouri ?"
"Et maintenant, nous allons retirer le cerveau du sujet pour le placer dans la boite crânienne du singe."
"Il avait déjà eu des enfants, non ?"
"Infirmière, est-ce que ce patient avait laissé des instruction à propos du don d'organes ?"
"Quoi ? C'est bien 'Je veux divorcer' que tu viens de me dire ?!"
"Attention, ça va saigner ! Tous aux abris !!!"
"AU FEU ! AU FEU ! Tout le monde dehors !!"
"Merde ! Il manque la page 47 du manuel !"
" Quelqu'un peut appeler la femme de ménage ? On va avoir besoin d'un coup de serpillière."
"Tiens, regarde, c'est marrant, quand on tire là, ça fait plier sa jambe. Et ce nerf, il sert à quoi ?"
"Tu connais la meilleure ? On s'est planté de jambe."
"Quelqu'un sait faire un massage cardiaque ?"
"Ouups !"
"On torche ça vite fait, j'ai un train dans une heure."
"Comment ça, y a plus de fil ?"
"Et tu me dis qu'il a vécu vingt ans avec ce truc dans le corps ?"
"Non non non ! Moi je dis que ce truc-là, ça va là !"
"Va falloir se dépêcher, il reste pour cinq minutes d'anesthésiques".
"250, c'est pas un peu beaucoup comme rythme cardiaque ?"
"C'est gagné ! Je t'avais dit de pas me faire rire !!!"
"Combien il y a de compresses dans le haricot ?
- Six.
- Recomptez !
- Toujours six ...
Et par terre ?
- Aucune...
- ... Bon, on le réouvre."



COMMENT DONNER DES COMPRIMéS à VOTRE CHAT par Peggy Althoff

1. Attrapez votre chat fermement. Couchez-le dans votre bras comme si vous vous apprêtiez à donner un biberon à un bébé.
Bercez-le en murmurant :
"C'est un gentil minou ça." Et laissez tomber le comprimé dans sa gueule.
2. Allez chercher le chat qui s'est planqué au dessus de l'abat-jour, et le comprimé qui est tombé sous le canapé.
3. Suivez la même procédure qu'en 1., mais tenez les pattes avant du chat de la main gauche et les pattes arrières dans la pliure de votre coude droit.
Enfournez le comprimé dans sa gueule avec un doigt.
4. Allez rechercher le chat sous le lit.
Prenez un nouveau comprimé dans la boite. (Ne succombez pas à la tentation de prendre un nouveau chat aussi)
5. à nouveau, suivez la procédure indiquée en 1., sauf que lorsque vous tenez le chat comme pour un bébé qui va prendre le biberon, pensez à vous asseoir et à pencher votre buste sur le chat, ouvrez la gueule du chat en soulevant la mâchoire supérieure et lâchez le comprimé vite fait.
Malheureusement, votre tête est placée très bas et vous ne verrez pas forcément très bien ce que vous êtes en train de faire.
C'est aussi bien...
6. Laissez le chat agrippé aux rideaux. Laissez le comprimé collé dans vos cheveux.
7. Si vous êtes une femme, pleurez un bon coup. Si vous êtes un homme, réfrénez vos instincts meurtriers.
8. Maintenant, remettez-vous à la tâche.
Après tout, qui est le patron ici ?
Allez rechercher le chat ! Et prenez le comprimé.
Reprenez la position indiquée en 1. et dites d'un ton autoritaire :
"C'est moi qui commande : tu vas prendre ce comprimé !"
Ouvrez la gueule du chat, prenez le comprimé et ... Oups!
9. ça ne marche pas hein ? Affalez-vous sur une chaise et réfléchissez.
Aha! Mais oui, ce sont ces p... de griffes qui empêchent tout déblocage de la situation.
10. Rampez jusqu'à la salle de bains. Prenez une grande serviette de plage. étalez la serviette sur le sol.
11. Allez rechercher le chat sur les étagères de la cuisine et le comprimé dans la plante verte.
12. Couchez le chat sur la serviette avec la tête près du bord.
13. Prenez les pattes avant et les pattes arrières du chat et collez les contre son ventre (ne cédez pas à vos pulsions de l'aplatir totalement)
14. Enveloppez le chat dans la serviette. Faîtes vite.
15. Reprenez la position 1. Enveloppez l'arrière de la tête du chat entre votre pouce et votre index gauches (si vous êtes droitier).
Avec l'extrémité du pouce et de l'index, exercez une pression sur la commissure des mâchoires supérieures et inférieures : la gueule du chat va s'ouvrir.
16. Laissez tomber le comprimé au fond de la gueule et frottez la gorge pour qu'il avale. C'est tout ...
17. Passez l'aspirateur pour récupérer les poils (du chat) tombés par terre. Nettoyez les plaies (les vôtres) et posez les pansements.
18. Prenez deux aspirines et allez vous coucher.



C'est l'histoire d'un homme fort riche, mais malheureusement fort gros.
Son médecin lui conseille donc de faire un régime.
Il décide donc d'aller dans un de ces nouveaux centres d'amaigrissement ultramoderne et ultracher.
Il pénètre donc dans un de ces lieux, une hôtesse l'accueille :
- Nous pouvons vous proposer 3 types de régime : le régime à 5000 Fr pour perdre 3 kilos le régime à 10000 Fr pour perdre 8 kilos le régime à 15000 Fr pour perdre 15 kilos (c'est dégressif, normal !!!)
"- Ah, je vais commencer par celui a 5000 Fr, pour voir . "
"- Eh bien, c'est simple, à chaque porte correspond un régime, vous entrez dans la première pièce, et quand vous en ressortez vous avez perdu 3 kilos."
En effet sur le mur en face de lui, il y a 3 portes, il paye, et rentre donc par la première .
C'est une salle immense, en face de lui une superbe jeune fille lui crie :
"- Si tu m'attrapes, tu me fais ce que tu veux !"
Et l'homme court, mais la fille est agile. Pendant des heures il court pour l'attraper.
En fin de compte, il y parvient; et lui fait ce qu'il veux (je vous laisse imaginer bande de porcs lubriques) .
En sortant de la salle, il se pèse et constate qu'il a perdu 3 kilos.
Tout heureux, mais épuisé, il rentre chez lui.
Il décide de continuer ce régime.
Il revient donc, et il se dit que le régime Numéro 2 doit être encore mieux ; il choisit donc la 2ème porte.
C'est aussi une salle aussi immense, mais là il y a deux jeunes filles tout aussi superbes (imaginez Claudia Schiffer et Cindy Crawford dans la même salle)
Et là, même cinéma, je ne rentrerai pas dans les détails, si ce n'est qu'il parvient a ses fins.
En sortant, il a effectivement perdu ses 8 kilos.
Il décide donc de revenir, pour voir comment ça peut être derrière la 3ème porte (il imagine déjà la méga-partouze !) .
Il rentre donc dans la 3ème salle.
Mais la surprise, la salle est minuscule, et il entend derrière lui, un très très gros musclé tout fardé en nuisette rose crier :
"- SI J' T'ATTRAPPE J'T'ENC... !!!!!!!!!!! "



100 manières bizarres de commander une pizza par téléphone
... ou comment perdre son temps en faisant ch... les autres ...

1.Appuyez au hasard sur les touches du téléphone et dites à la personne qui prend les commandes d'arrêter de faire ça.
2.Commandez un Super Big-Mac.
3.Avant de raccrocher, dites : "Rappelez-vous que nous n'avons jamais eu cette conversation."
4.Dites que vous avez un concurrent sur l'autre ligne et que vous prendrez l'offre la moins chère.
5.Répondez aux questions par d'autres questions.
6.Donnez juste votre adresse, dites "Surprenez-moi !" et raccrochez.
7.Dites-leur de mettre la pâte au-dessus cette fois.
8.Mettez du Metallica à fond dans la pièce.
9.Ne dites pas quelles pizzas vous voulez. Epelez les noms.
10.Demandez à profiter d'une promotion que font les concurrents.
11.Demandez ce que la personne qui prend les commandes porte comme vêtements.
12.Faites craquer vos doigts devant le micro.
13.Dites bonjour, taisez-vous pendant cinq secondes, puis faites comme si c'était eux qui avaient appelé.
14.Faites votre commande avec un air déterminé. S'ils vous demandent des boissons, paniquez.
15.Dites que vous êtes déprimé et que vous voulez juste causer.
16.Demandez des trucs exotiques comme garnitures.
17.Changez d'accent toutes les trois secondes.
18.Dites que vous voulez que les champignons (ou les anchois) doivent être disposés en fractale, suivant une formule que vous allez dicter.
19.Parlez en créole.
20.Faites comme si vous connaissiez la personne qui prend les commandes. Ne lui donnez aucun indice.
21.Demandez à louer une pizza.
22.Commandez dix pizzas différentes très compliquées, et annulez tout à la fin : vous avez déménagé et oublié de reprogrammer les mémoires du téléphone.
23.Demandez si vous gardez la boîte de la pizza. Quand ils disent oui, soupirez de soulagement.
24.Eloignez le micro du téléphone au fur et à mesure que vous parlez. Juste avant de raccrocher, rapprochez-le et hurlez "Au revoir !".
25.Dites de bien vérifier que votre pizza est morte.
26.Imitez la voix de la personne qui prend les commandes.
27.Ou celle de son patron si vous la connaissez.
28.N'utilisez pas de verbes.
29.Quand on vous demande "vous désirez ?", répondez "oh, tout de suite ?"
30.En fond sonore, mettez un film de guerre.
31.Demandez si le livreur peut rester et se cacher derrière un meuble pour faire une surprise à votre femme dont c'est l'anniversaire.
32.Dérivez la conversation vers la country-music. Ne vous laissez pas interrompre.
33.Demandez à voir le menu.
34.Citez Kant, Spinoza ou Platon.
35.Demandez si le livreur aime les enfants. Même cuits.
36.Si vous avez un répondeur à cassette, déclenchez-le dès que la pizzeria décroche.
37.Commandez juste une part.
38.Demandez quelle garniture s'accorde le mieux avec un Mouton-Rothschild.
39.Au milieu de la commande, interrompez-vous quelques secondes, puis dites "Où suis-je ? Qui êtes-vous ?"
40.Bégayez.
41.Lors du récapitulatif final, soyez étonné, dites que vous avez dû mal vous exprimer, et changez tout.
42.Psychanalysez la personne qui prend les commandes.
43.Demandez quel est le numéro de téléphone. Raccrochez et recommencez.
44.Donnez une adresse en Australie.
45.Ou un numéro d'immeuble qui n'existe pas.
46.Demandez combien de temps dure la garantie.
47.Commandez deux garnitures différentes, puis dites "Non, elles se battraient !"
48.Demandez si le livreur sait réparer les chasses d'eau.
49.Prenez un accent asiatique, exigez une garniture en viande de doberman, et étonnez-vous que ce ne soit pas possible.
50.Dites à la personne qui prend les commandes de dire à son patron que sa chaîne le vire.
51.Demandez si la chaîne de production de pizza a été délocalisée ou si les pizzas sont faites en France.
52.Mettez un film d'horreur bien hurlant en fond sonore.
53.Ou un film porno.
54.Utilisez des exclamations comme "Doux Jésus-Marie-Joseph"
55.Demandez à parler à la personne qui a pris votre commande la dernière fois.
56.Si on vous fait des suggestions, dites que vous ne vous laisserez pas impressioner.
57.Demandez-vous tout haut si votre pittbull est rentré.
58.Essayez de parler en buvant quelque chose.
59.Commencez par "Mon appel chez "Pizza'Rapid", prise 1, action !"
60.Demandez si la pizza a grandi en batterie ou au grand air.
61.Demandez combien coûte l'entretien.
62.Exigez un paquet cadeau.
63.Soyez vague.
64.Juste avant de raccrocher, ajoutez : "Avec un peu plus de xwrtrhjklm cette fois !"
65.Après la commande, demandez-vous tout haut "Je me demande à quoi sert CE bouton sur le téléphone". Simulez l'électrocution.
66.Commencez la conversation en donnant la date et en précisant "Ceci est peut-être mon dernier coup de fil."
67.Demandez si on peut venir vous reprendre les pizzas pour les réchauffer si vous les laissez trop refroidir.
68.Passez commande et dites que cette relation n'ira pas plus loin.
69.Détectez l'aura psychique de celui qui prend les commandes. Utilisez-la à votre avantage.
70.Demandez qu'on vous faxe les pizzas.
71.Ou proposez de faxer votre chèque.
72.Quand on vous demande les garnitures, donnez le nom d'une autre pizza.
73.Apprenez à jouer un riff de blues à l'harmonica. Interrompez-vous régulièrement pour jouer.
74.Dites à deux copains de raconter des obscénités tout haut pendant l'appel.
75.Demandez-leur s'ils reprennent les pizzas après les sept jours légaux de réflexion pour une commande par correspondance.
76.Dès que vous obtenez quelqu'un à l'autre bout de la ligne, dites de ne pas quitter. Posez le téléphone à côté d'une chaîne qui joue du Vivaldi.
77.Donnez un code secret à la personne au téléphone. Pour toutes les autres commandes, refusez de commander si on ne vous le donne pas.
78.Demandez si la pizzeria paye par Visa ou par chèque.
79.Grommelez "il y a une bombe sous votre siège". Si on vous demande répéter, dites "c'est bon la sauce aigre".
80.Commandez dès le début des champignons. Juste avant de raccrocher, dites "Et pas de champignons, s'il vous plaît."
81.Exigez de parlez d'urgence au patron. Passez-lui votre commande.
82.Quand on vous donne le prix, dites : "Houla, c'est compliqué; j'ai toujours détesté les maths."
83.Marchandez.
84.Demandez une pizza épaisse de 3 cm.
85.Ou d'un diamètre de trois centimètres.
86.Demandez si on peut vous apporter une table.
87.Si vous avez un répondeur à cassette, déclenchez-le dès que la pizzeria décroche. Un heure plus tard, étonnez-vous que votre commande n'ait pas été honorée.
88.Demandez si l'assurance-vie est comprise.
89.Demandez combien de dauphins ont été tués pour faire cette pizza.
90.Evitez de prononcer le mot "pizza"; trouvez tous les synonymes possibles. Si au bout du fil le mot est prononcé, dites "Pitié, pas ce mot !"
91.Mettez la télé et cherchez une séquence où un coup de feu claque. Passez-la pendant la commande, et criez "Aaahh !!" quand le coup part.
92.Dites que le livreur n'a pas à avoir peur du crocodile ou du boa.
93.Demandez une pizza fumée.
94.Demandez le nom de celui que vous avez au bout de la ligne. Plus tard, rappelez et dites "Bonjour, Monsieur Untel, c'est le service de réveil. Il est ( heure ), bonne journée." Raccrochez.
95.Demandez si la pizza a été abattue sans soufrance.
96.Commandez les garnitures les plus compliquées, et demandez ce que veut dire "tomate".
97.Demandez des délais de paiement pour une pizza.
98.Demandez si on peut commander par Internet. Si on vous dit non, dites "Tant pis, je mangerai pas de pizza ce soir." Raccrochez.
99.Demandez que les anchois forment un "Bon Anniversaire !".
Si un des trucs précédents ne marche pas, dites "La dernière fois ça a marché !"



Et donc : Commander une Pizza en 2015
Standardiste : "Pizza Hut, bonjour."
Client : "Bonjour, je souhaite passer une commande."
Standardiste : "Puis-je avoir votre NIDN, monsieur ?"
Client : "Mon numéro d'identification nationale (National ID Number), oui, un instant, voila, c'est le 6102049998-45-54610."
Standardiste : "Merci Mr. Sheehan. Donc, votre adresse est bien le 1742 Meadowland Drive, et votre numéro de téléphone le 494-2366. Votre numéro de téléphone professionnel chez Lincoln Insurance est le 745-2302 et votre numéro de téléphone mobile le 266-2566. De quel numéro appelez-vous ?"
Client : "Euh ? Je suis à la maison. D'où sortez-vous toutes ces informations ?"
Standardiste : "Nous sommes branchés sur le système monsieur."
Client : (Soupir) "Ah bon ! Je voudrais deux de vos pizzas spéciales à la viande..."
Standardiste : "Je ne pense pas que ce soit une bonne idée monsieur."
Client : "Comment ça ?"
Standardiste : "Selon votre dossier médical, vous souffrez d'hypertension et d'un niveau de cholestérol très élevé. Votre assurance maladie vous interdit un choix aussi dangereux pour votre santé."
Client : "Aïe ! Qu'est-ce que vous me proposez alors ?"
Standardiste : "Vous pouvez essayer notre Pizza allégée au yaourt de soja. Je suis sûre que vous l'adorerez."
Client : "Qu'est-ce qui vous fait croire que je vais aimer cette pizza ?"
Standardiste : "Vous avez consulté les 'Recettes gourmandes au soja' à votre bibliothèque locale la semaine dernière monsieur. D'où ma suggestion."
Client : "Bon d'accord. Donnez m'en deux, format familial. Je vous dois ?"
Standardiste : "Ca devrait faire l'affaire pour vous, votre épouse et vos quatre enfants monsieur. Vous nous devez 49,99 $."
Client : "Je vous donne mon numéro de carte de crédit."
Standardiste : "Je suis désolée monsieur, mais je crains que vous ne soyez obligé de payer en liquide. Votre solde de carte de crédit dépasse la limite".
Client : "J'irai chercher du liquide au distributeur avant que le livreur n'arrive."
Standardiste : "Ca ne marchera pas non plus monsieur. Votre compte en banque est à découvert."
Client : "Ce n'est pas vos oignons. Contentez-vous de m'envoyer les pizzas. J'aurai le liquide. Combien de temps ça va prendre ?"
Standardiste : "Nous avons un peu de retard monsieur. Elles seront chez vous dans environ 45 minutes. Si vous êtes pressé, vous pouvez venir les chercher après être avoir retiré du liquide, mais transporter des pizzas en moto est pour le moins acrobatique."
Client : "Comment diable pouvez-vous savoir que j'ai une moto ?"
Standardiste : "Je vois ici que vous n'avez pas honoré les échéances de votre voiture et qu'elle a été saisie. Mais votre Harley est payée, donc j'ai simplement présumé que vous l'utiliseriez."
Client : "@#%/$@&?#!"
Standardiste : "Je vous conseille de rester poli monsieur. Vous avez déjà été condamné en juillet 2006 pour outrage à agent."
Client : (Sans voix)
Standardiste : "Autre chose monsieur ?"
Client : "Non, rien. Ah si, n'oubliez pas les deux litres de Coca gratuit avec les pizzas, conformément à votre pub."
Standardiste : "Je suis désolée monsieur, mais une clause d'exclusion de notre publicité nous interdit de proposer des sodas gratuits à des diabétiques."



Ce sont trois jeunes candidats à la prêtrise.
L'évêque s'est déplacé spécialement au séminaire pour leur faire passer un dernier test: le test du célibat
L'évêque conduit les trois candidats dans une pièce, et leur demande de se déshabiller.
Ensuite, il demande à chacun de s'attacher une petite clochette au pénis au moyen d'une ficelle toute fine.
Lorsque tout le monde est prêt, une superbe fille entre dans la pièce et vient se placer devant le premier candidat.
Elle entame un strip tease torride... mais n'a pas plutôt enlevé son soutien-gorge que l'on entend le *Tingingling*
L'évêque prend alors la parole :
- Patrick, je suis vraiment désolé pour vous, mais votre manque de "self-control" vous joue des tours.
Emportez vos vêtements et courrez prendre une douche froide. Vous en profiterez pour prier et méditer sur votre faiblesse charnelle.
Pendant ce temps, la jeune fille qui s'était placée devant le second candidat avait continué son strip tease.
Arrivé à la petite culotte, l'évêque pu entendre le *Tingingling*
L'évêque reprend alors la parole :
- Joseph, toi non plus, tu n'es pas capable de réfréner tes pulsions charnelles.
Une douche froide et des prières pour toi aussi. Et le second candidat quitte la pièce.
à ce moment, la jeune fille est déjà toute nue, en train de danser et prendre des attitudes toutes les plus suggestives devant le troisième candidat... mais RIEN.
Elle a beau même se frotter contre le corps de l'éphèbe : aucune réaction.
L'évêque est très satisfait et il dit :
- Michaêl, mon fils, je suis vraiment fier de toi ! Tu es le seul a avoir eu assez de force de caractère pour ne pas t'être laissé aller à tes pulsions charnelles. Tu deviendras un prêtre très rapidement.
Maintenant tu peux aller rejoindre tes deux compagnons sous la douche...
.... *Tingingling*



LE PREMIER VOL SPATIAL EUROPéEN

ça y est, le premier vol spatial européen habité est en route.
à bord de la navette Hermès ont embarqué deux cochons et un spationaute belge, spécialement sélectionné.
Pendant le vol, la conversation suivante a lieu entre la base terrestre et la navette :
- Allô Allô ici le contrôle terrestre pour le cochon N°1. Cochon N°1 est-ce que vous m'entendez ?
- Allô Allô ici le cochon N°1. Je vous reçois fort et clair.
- Cochon N°1, est-ce que tout fonctionne correctement ?
- Tout est sous contrôle. Le vol se déroule parfaitement.
- Très bien. Pouvez-vous nous confirmer vos instructions ?
- Oui contrôle terrestre : dès lors que nous serons en orbite, j'enclenche le bouton carré, et je relâche le bouton rond.
- Très bien cochon N°1. Cochon N°2 me recevez-vous ?
- Je vous reçois 5/5.
- Comment se déroule le vol de votre côté cochon N°2 ?
- Tout va bien. Aucun problème.
- Cochon N°2, pouvez-vous nous répéter vos instructions ?
- Oui. Lors de l'atterrissage au retour sur terre, je tire le levier rouge et je pousse le levier bleu.
- Très bien cochon N°2. Spationaute belge, me recevez-vous ?
- Ici le spationaute. Je vous entend très bien.
- Comment se déroule le vol ?
- Le vol est très agréable. Aucun problème à signaler.
- Spationaute, pouvez-vous répéter vos instructions ?
- Oui contrôle terrestre. Je dois nourrir les cochons deux fois par jour, et SURTOUT, SURTOUT, je ne dois toucher à rien.



Un jour que j'étais assis à mon bureau, je me rappelle que j'ai un coup de fil à passer.
Je retrouve le numéro de téléphone, je le compose et quelqu'un décroche en disant d'une voix neutre "Allô".
Je répond poliment :
"Ici Martin Smith. J'aimerai parler à John Simson"...
Mais aussitôt, la personne raccroche sans rien dire ! Je n'aurai jamais cru que quelqu'un pouvait être si malpoli.
Finalement, j'ai recherché dans l'annuaire quel était le numéro exact de John, et je l'appelle.
En fait, quand il m'avait communiqué son numéro, il avait inversé les deux derniers chiffres..
Pendant tout le temps de ma conversation téléphonique avec John, je fixai le papier avec le faux numéro de téléphone qui était resté sur mon bureau... Et je décidai de rappeler le type.
Je composai donc le numéro erroné, et dès que le type décrocha, je lui hurlai dans l'appareil : "T'es qu'un pauvre NUL" puis je raccrochai.
J'ajoutai ensuite le mot NUL à côté du numéro de téléphone, et je rangeai le papier dans mon bureau.
Chaque semaine, lorsque j'avais des factures à payer, ou bien lorsque la journée était dure, je prenais mon téléphone pour l'appeler.
Il décrochait et je lui criais "T'es qu'un NUL". Cela me remettait toujours de bonne humeur.
Plus tard dans l'année, la compagnie du téléphone installa l'identification du numéro appelant.
Je dois dire que ça a été une grande déception pour moi car cela signifiait que je devais arrêter d'appeler mon gros nul... Mais je voulais en avoir le cœur net.
J'appelais donc mon gars, et je l'entendis décrocher : "Allo?"
J'entamais alors une conversation : "Bonjour, ici Herman Dole de la compagnie du téléphone. Je vous appelle pour savoir si vous connaissez le fonctionnement de notre système d'identification du numéro appelant ?"
Et mon nul répondit : "Non" et il raccrocha aussi sec !
Je le rappelais donc aussitôt pour lui dire : "C'est parce que t'es qu'un nul !"
La raison pour laquelle je raconte cette histoire, c'est pour vous montrer que s'il y a quelque chose ou quelqu'un qui vous embête vraiment, vous pouvez faire quelque chose contre ça : appelez le 722-4822. :-)

Un autre jour, j'étais sur le parking du centre commercial un samedi après-midi, et j'avais repéré qu'une vieille dame remontait dans sa voiture et qu'elle allait libérer sa place de parking.
J'attendais donc patiemment derrière... lorsqu'un malpoli vint engouffrer sa voiture dans la place encore toute chaude, juste devant mon nez !
Naturellement, je me mis à klaxonner et à crier par la vitre baissée "Hé vous n'êtes pas croyable, j'étais là avant vous !".
Mais le gars s'en alla, imperturbable, m'ignorant totalement.
J'étais en train de me dire : "Ce gars est vraiment un gros nul", lorsque je vis qu'il avait placé une affiche pour vendre sa voiture sur sa vitre arrière.
Je notais consciencieusement son numéro de téléphone, puis je me cherchais une autre place de parking.
Quelques jours plus tard, j'étais assis à mon bureau et je venais de me faire un très rapide (le numéro est maintenant mémorisé dans le téléphone) "722-4822 - T'es un gros nul", quand je me suis souvenu du type sur le parking ...
Je remis la main sur le petit bout de papier sur lequel j'avais noté son numéro, et je l'appelais :
- Allô...
- Bonjour. Vous êtes bien le monsieur qui a une voiture à vendre ?
- Oui c'est bien ça.
- Pouvez-vous me dire où je pourrai la voir ?
- J'habite au 84 dans la 34ème rue. C'est une maison en briques rouges avec la voiture qui est garée en face.
- Quel est votre nom au fait ?
- Mon nom est Ricky Ki.
- Et à quelle heure a-t-on le plus de chance de vous rencontrer ?
- Je suis à la maison le soir à partir de 18 heures.
- Très bien. Maintenant écoutez bien...
- Oui...?
- Ricky, t'es qu'un gros nul !
Après avoir raccroché, je mis le numéro de ce Ricky Ki dans la mémoire du téléphone.
Pendant un bon moment, j'étais très content d'avoir deux nuls à appeler.
Et puis, après quelques mois, l'accoutumance fit que le plaisir n'était plus aussi intense qu'avant.
Un beau jour, je décidais de m'offrir un beau cadeau :
D'abord j'attendai qu'il soit 18 heures et j'appelai mon nul numéro 1.
Dès qu'il décrocha, je lui hurlai à l'oreille: "T'es un gros nul"... mais je ne raccrochai pas.
Le nul demande alors: "Vous êtes encore là ?"
Je répondis: "Ouais !"
"Alors arrêtez de m'appeler !"
"Non. je ne vais pas arrêter parce que tu n'es qu'un gros nul"
"Si vous n'êtes pas qu'un lâche doublé d'un minable, dites-moi plutôt quel est votre nom et où vous habitez: Je vais venir vous faire la tête au carré personnellement !"
"Et bien tu peux venir gros nul, je t'attends. Je m'appelle Ricky Ki et j'habite au 84 dans la 34ème rue !"
"J'arrive. Tu ferais mieux de commencer à dire tes prières !"
"Oh oh oh, qu'est-ce que j'ai peur... Gros nul !" et je raccrochais.
Puis j'appelais mon nul numéro 2..
Dès qu'il décrocha, je lui hurlai à l'oreille : "Bonjour gros nul"
- Si je savais qui tu es...
- Et bien justement, tu vas pas tarder à savoir. Je vais venir chez toi personnellement pour te botter le cul.
Et je raccrochai.
Enfin, je descendis en bas de la rue, j'appelai la police pour les prévenir qu'une bagarre de rue aller survenir entre deux gangs au 84 dans la 34ème rue.
Puis je montai en voiture et je me rendis sur place.
Là, je pus voir deux gars en pleine bagarre, sur la pelouse... et ensuite 12 voitures de police (et un hélicoptère) remplies de policiers qui les séparèrent, leur mirent les menottes, et les emmenèrent au poste.
Depuis, je ne les appelle plus au téléphone. :-(



( j'vous ai évité les pires des suivantes quand même ... ;-)
On ne dit pas "mon amiral"... Mais mon copain rouspète.
On ne dit pas "l'Arabie Saoudite" ... Mais dites où c'est l'Arabie.
On ne dit pas "un pilote de F1" ... Mais un court circuit.
On ne dit pas "je ricane" ... Mais je m'bidonne.
On ne dit pas un canif... Mais un fien.
On ne dit pas "aérobic", mais "Royal Air Maroc".
On ne dit pas "Montenegro", mais "après vous, Monsieur l'ambassadeur".
On ne dit pas "je suis hétérosexuel", mais "je suis allé aux putes".
On ne dit pas "j'ai à portée de main", mais "je l'apporterai demain".
On ne dit pas "un poète" mais un klaxon
On ne dit pas "un chapitre" mais un matou rigolo
On ne dit pas "une Calabraise" mais "une qui a le feu au cul"
On ne dit pas "La maîtresse d'école" mais l'institutrice prend l'avion !
On ne dit pas "c'est l'Amazone" mais c'est là que j'habite
On ne dit pas "bosser à la chaîne" mais travailler à la télé
on ne dit pas "consensuel" mais génitalement attirante
on ne dit pas "l'idole des jeunes" mais Johnny casse la croûte
On ne dit pas "qu'est-ce à dire" mais "haut-parleur"
On ne dit pas "un match interminable" mais "une rencontre entre de mauvais joueurs"
On ne dit pas "un perroquet" mais "mon papa est d'accord"
On ne dit pas "elle a un potager" mais elle a un copain dans une maison de retraite
On ne dit pas "Guitare" ... mais Alberto
On ne dit pas "il a un cerf-volant" mais "il est long à la détente"
On ne dit pas "un enfoiré" mais "365 jours de perdus"
On ne dit pas "le processus de paix est enclenché" mais "ouvrez les fenêtres"
On ne dit pas "un ingrat" mais un petit gros
On ne dit pas "javellisé" mais "j'ai lu"
On ne dit pas "allegro" mais "Vas-y l'obèse"
On ne dit pas le "Petit Poucet" mais "le gosse était constipé"
On ne dit pas "Les technocrates, si on les envoyait au sahara, six mois plus tard ils importeraient du sable !" mais "Les congères"
On ne dit pas "Le système métrique" mais "la société m'étouffe"
On ne dit pas "Antichambre de bordel" mais "Salon du prêt à p'loter"
On ne dit pas "Mine de rien" mais "Gisement épuisé"
On ne dit pas "Cunnilingus" mais "Poil aux dents"
On ne dit pas "J'ai eu vent de l'affaire" mais "Il m'a pété dans l'oreille"
On ne dit pas "Gestionnaire de tâches" mais "Directeur des ressources humaines"
On ne dit pas "Démanger" mais "Vomir"
On ne dit pas "L'électronique" mais "l'électricien fait l'amour"
On ne dit pas "une étudiante en médecine qui malgré son air bête a eu tous ses diplômes" mais "une carabine à air con primée"
On ne dit pas "Il s'aimait beaucoup trop" mais "Il est mort d'Onanition"



Le PDG d'un grand groupe multinational déambule dans son bureau de 120 m2 emmerdé par l'ennui d'une nouvelle journée de glande. Après avoir consulté ses mails de cul illustrés, le cours du CAC40 et quelques minutes de loft story sur le net, il décide d'appeler son vice-président (plongé dans une partie de tétris en réseau).
Une fois dans le bureau, il lui dit :
"Ecoutez, j'ai une terrible préoccupation à propos de mon épouse... Je me demande si le fait de lui faire l'amour est une question de travail ou est-ce que c'est juste une question de plaisir ?"
Le Vice-président embarrassé, lui répond sans trop se mouiller :
-"Franchement, je n'ai aucune idée, M. Le Président."
-"Vous avez une heure pour me donner la réponse !" ordonne le PDG.
Le Vice-président court voir son Vice-président adjoint (qui lisait l'équipe tranquillement dans son bureau de 60m2) et lui pose le problème :
-"Une question, si notre cher Président se tape sa femme, à ton avis, c'est une affaire de travail ou c'est juste pour le plaisir ?"
-"Alors là, j'en sais rien" lui répond-il.
-"Vous avez 55 minutes pour me répondre !!" Le Vice-président adjoint va voir son directeur financier (en pause-café)...
-"Si notre président saute sa chérie, c'est du travail ou du plaisir ?"
-"Financièrement, le coût est nul, je ne peux donc pas répondre..."
-"T'as 45 minutes..."
Celui-ci va voir son chef de département (en réunion), qui à son tour va voir un de ses chefs de projets (le seul qui n'est pas en RTT)...
-"Si le vieux baise sa meuf ? , C'est du taf ou c'est juste pour le fun ?
- J'en sais rien!"
-"20 minutes"
Le chef de projet va voir donc un de ses responsables techniques qui en dernier recours va demander à l'un de ses sous-fifres en pleine période de bourre, avec dix cahiers des charges sur la table, trois mois de boulot sur le dos, pleins de doc. à rédiger, la messagerie qui fume, le téléphone qui sonne sans arrêt...
-" Oh ! Le presta ! Une question !"
- Pas maintenant, je suis jusqu'au cou, j'ai pas le temps, j'ai plein de trucs à faire"'
-"C'est super urgent !! Il faut que tu répondes"
-"Vas-y !, C'est quoi ?" Demande le grouillot.
-"Si le BigBoss fourre sa pouf, c'est du boulot ou du plaisir ?"
-"Arrête, trop facile, c'est du plaisir !" Affirme le prestataire.
-"Attends ! Comment tu peux savoir aussi vite ?" Le prestataire répond indigné :
- Dans cette boîte, si jamais c'était du boulot, c'est moi qui serais en train de me la taper !!!"



Un garçon demande à son père :
- Papa, je dois faire un exposé à l'école, est-ce que je peux te poser quelques questions ?
- Oui bien sûr, vas y qu'est-ce que tu veux savoir ?
- C'est quoi la politique ?
Le père réfléchit un peu puis se lance :
- Et bien voila, prenons comme exemple notre foyer. Je suis un salarié, donc je gagne de l'argent, donc appelons moi "capitalisme". Ta mère c'est l'administrateur des biens, appelons la "gouvernement". Nous devons nous occuper de toi et pourvoir à tes besoins, donc toi tu es "le peuple". Appelons la bonne "la classe ouvrière", et ta petite sœur qui n'a qu'un an, "le futur". Est ce que c'est plus clair maintenant ?
Le petit réfléchit et dit :
- Je ne suis pas très sûr, mais je vais y réfléchir.
Cette nuit-là, réveillé par les cris de sa petite sœur, le garçon est allé voir ce qui n'allait pas.
Découvrant que sa jeune sœur a sérieusement remplit ses couches, le petit est allé à la chambre de ses parents en voyant que sa mère est profondément endormie il alla voir dans la chambre de la bonne où à travers le trou de serrure il a vu son père en train. de sauter la bonne.
Le petit fut tellement dégoûté par ce qu'il a vu qu'il est retourné dans sa chambre et s'est recouché.
Le lendemain matin le petit va voir son père :
- ça y est, papa, maintenant je crois avoir compris ce que c'est que la politique.
- Très bien fiston ! Raconte-moi maintenant avec tes propres mots.
- Et bien, pendant que le Capitalisme encule la Classe Ouvrière, le Gouvernement est profondément endormi, le Peuple est complètement ignoré et le Futur est dans la merde.



C'est un Québécois et un Canadien anglais qui s'en vont à la chasse, mais le Canadien anglais n'a pas de fusil. En s'en allant vers le campement, ils virent un petit magasin de chasse. Le Canadien anglais, tout content, sortit de la voiture et entra dans le magasin pour s'acheter un fusil. Le Canadien anglais demanda au vendeur :
- As-tu une 410 ?
Le vendeur lui répondit :
- Je n'en ai plus en réserve.
Mais le Canadien anglais lui dit :
- Regarde, là, tu as une 22 acroché au mur !
Le vendeur répliqua bêtement :
- Elle est réservée.
Mais le Canadien anglais perspicace lui demanda :
- D'abord, la 12 qui est là ?
Le vendeur lui répondit :
- Celle-là, elle est brisée !
Le Canadien anglais revint à la voiture puis dit au Québécois :
- Le chien, y'a pas une maudite arme à me vendre...
Le Québécois ne voulait pas que sa partie de chasse tombe à l'eau !
Alors, il décida d'aller voir le vendeur et lui dit :
- Coup donc, as-tu quelque chose contre les Canadiens anglais ?
Le vendeur répliqua sans tarder :
- J'ai une 410 en arrière, une 22 accrochée au mur, puis un 12 juste à côté de moi !



Pendant plus de 30 ans, Pierre Culliford, sous le pseudonyme de Peyo, a rêvé et dessiné sa société parfaite. Inspiré de More, deFourier, de Proudhon, ce grand romancier utopiste a plus que tout autre donné une couleur et un sourire à la conspiration des égaux.
Mais la conviction qu'en aucun cas dans cette république de l'ennui nous ne serions heureux amène à s'interroger sur la fonction sociale que l'univers des petits hommes bleus, détourné depuis en marchandise pour la jeunesse, remplit dans le discours dominant.
Dernière image, pour les uns, d'un communisme vierge de tout crime, nous serions tentés de le voir surtout comme sa première image vendable : plus repoussoir, en somme, que modèle et espoir d'une vie souhaitable. Le GREms, pour la première fois, décortique aujourd'hui le mythe.
Afin d'en finir.

Le cadre : le noyau de la société Schtroumpf est absent à la fois dans l'espace (cour d'un inaccessible Pays Maudit) et dans le temps : l'époque, indéterminée, renvoie en réalité à un Moyen-Age fictif et ininterrompu, véritable trou noir dans l'Histoire, et donc terreau fertile à tous les possibles.
Le village n'est en fait que la énième cité radieuse qu'ont rêvé toutes les utopies, chaude et rassurante telle un ventre maternel.
L'isolement semble avoir été déterminant dans le choix du lieu, en ce qui concerne l'éloignement des humains notamment. A l'identique de toutes les Icaries, et comme nous allons le voir, le refus de la mort se double par lui même d'un refus de la vie. Version positive, mais tout aussi invivable, que le village du "Prisonnier" de Patrick MacGohan, dont il suit la longue marche des inspirateurs.

Le petit peuple : enfant d'une société bonne et juste, le Schtroumpf a ce qu'il désire, et ce qu'il mérite dans la pauvreté de ses désirs. La tribu ne connaît pas de distorsion entre les besoins de sa société et les aspirations de ses membres.
Anonymes, uniformisés dans une semi-nudité où ce qui est caché désigne tous les dénis (du sexe, du visage, de la différence), les Schtroumpfs sont simplement désignés par leurs spécialisations comportementales et sociales.
Dans une société parfaite, les individus s'identifient aux rôles attribués comme prédéterminés de naissance. Il y a d'ailleurs peu de chance de voir un jour grandir le Bébé-Schtroumpf.

Le Grand Schtroumpf : Il est à lui seul le père, la Loi, et la bureaucratie dirigeante de la société, coiffé d'un reluisant substitut phallique.
Prince-philosophe de ce monde, si son autorité répressive n'est jamais directement discernable, nous savons du moins qu'il conserve jalousement les secrets de son savoir scientifique et technique, qu'il dissimule, comme tout pouvoir moderne, derrière d'incroyables pratiques ésotériques et un improbable jargon pseudo-alchimique.
L'Apprenti-Schtroumpf, qui s'avérait concurrent potentiel, sera ainsi contraint de se tourner vers Gargamel et comprendra qu'à vouloir s'approcher du centre de la domination, on a tôt fait de se brûler les ailes.
A l'identique du Cosmo-Schtroumpf, aucun des petits nains bleus, maintenus par leur maître dans un stade d'infantilisme éternel, ne quittera jamais sa triste condition.

Le parler schtroumpf : les Schtroumpfs pratiquent une sorte de novlangue où les règles relatives de multiples signifiés avec un seul signifiant restent floues.
Cette langue, en tout cas, évite de dire n'importe quoi, et surtout n'importe quoi de précis. Le conflit qui oppose les Schtroumpfs du Nord aux Schtroumpfs du Sud dans "Schtroumpf Vert et Vert Schtroumpf" n'est pas tant le fait que l'on ne se comprenne pas, mais l'anticipation que pour la première fois, on risque bien de ne plus se comprendre.
Cette révélation balaie d'un coup l'autorité tutélaire qui assiste impuissante à l'incendie que ces forces pré-historiques (au sens de l'anthropologie marxiste de Balandier) ont allumé au cour même de la cité : la représentation du monde, jusqu'ici unitaire et cantonnée à des choses simples, se fissure.

L'économie : Malgré la division native des rôles au sein de la communauté, nous ne savons rien de l'économie Schtroumpf, hormis son éventuelle inexistence.
A la fois individualités séparées et collectivité intégrée, le village ne semble quasiment vivre de rien, comme il semble également ne rien vivre.
L'absence économique est évidemment bien commode dans une utopie qui entend se mettre à l'abri du conflit. A moins que là aussi cette absence ne soit que falsification.
Il faudrait tout de même parler du curieux personnage appelé Schtroumpf Farceur, qui passe le plus clair de son temps (inexistant aussi) à offrir des cadeaux à ses congénères.
Si cette pratique peut-être rapprochée de la "Kula" des Trobriandais ou du "Potlatch" chez les Indigènes Nord-Américains, il est permis de voir là, plutôt qu'une survivance primitive, une critique marxienne du fétichisme de la marchandise dans cette circulation des biens, qui en plus d'être l'unique, est uniquement trompeuse. Le "cadeau" ne révèle finalement rien, hormis l'expérience sans cesse renouvelée de la duperie et de la farce.
Mais les Schtroumpfs n'apprennent rien, et tels le consommateur moderne, ne se lassent pas d'attendre la suite.
Conséquence assumée et définitive de sa propre limite, l'utopie qui ne se pose pas la question de l'économie et de l'emploi de la vie ne libère en rien l'homme aliéné que reste ad vitam aeternam le Schtroumpf spectateur de son propre bonheur.

Le Schtroumpfissime : l'album éponyme peut être à juste titre considéré comme l'oeuvre noire de Peyo.
Pour la première fois, la société immobile est en effet confrontée à un véritable conflit de pouvoir. Et ce à l'occasion de l'absence du Grand Schtroumpf, qui démontre par là, à l'instar d'un Tito, son rôle de soupape de sécurité de l'unité sociale.
La tyrannie du Schtroumpfissime est d'abord conquise par la mise en scène du plébiscite d'un prétendant populiste. Et l'élu, on le comprend, n'avait pas besoin de concurrents : il concentre dans sa personne tous les désirs d'une société qui en connaît bien peu. Le pouvoir qu'il incarne s'installe par la simulation de sa propre distribution au travers de rôles tant inégalitaires que fictifs et purement honorifiques.
Jamais la société des petits hommes n'aura autant ressemblé à celle des grands. Plus qu'une cruelle (et réussie) transposition de nos sociétés "démocratiques", c'est la méfiance de Peyo à l'égard de tout processus historique qui éclate ici. La rébellion qui se constitue n'est porteuse d'aucun projet social de transformation.
Nous n'avons droit qu'au choix fictif des factions en lutte pour le même pouvoir. Pas de progrès possible dans une Histoire destinée à se répéter, ni de classe porteuse en elle- même de sa propre autonomie. Trace d'une pensée profondément pessimiste, voire conservatrice.

Gargamel : L'ennemi, avec son chat Azraël, et le négatif le plus abouti de la société Schtroumpf. C'est que contrairement aux hommes bleus, Gargamel a une quête, un devenir, identifiés ici avec "manger du Schtroumpf ".
Il est l'interférence, la faille dans laquelle ce monde risque effectivement à tout moment de s'engouffrer, d'être avalé.
Son rôle, en tant que contre-modèle, est bien sûr d'abord d'être à la source de quasiment tous les malheurs de la tribu, (cf la Schtroumpfette), mais constitue aussi, et plus subtilement en tant que fausse opposition, un objet d'importation dans les cas de crise du pouvoir patriarcal. Gargamel est ce mauvais père, que le Grand Schtroumpf va lui-même chercher lors du conflit entre Schtroumpfs du Nord et du Sud.
A l'instar d'un Saddam Hussein ou d'un quelconque pédophile, il est celui autour duquel cette société va se réintégrer et se recristalliser jusqu'à pétrification.

L'urbanisme : Si aucun plan du village n'est fourni, nous pouvons deviner chez Peyo un avatar de plus de Néphélokokkiougas, la cité des Oiseaux d'Aristophane.
La ville ressemblant toujours aux hommes qui la méritent, les champignons schtroumpfs sont à l'image leurs occupants : identiques et anonymes.
Dans le spectacle urbain de l'égalité admise, aucun, en apparence, ne doit dépasser l'autre. La cité naine n'a pas de remparts, et n'en a pas besoin : elle est une île introuvable où nul ne rentre et nul ne sort. Le communisme schtroumpf a fermé la carte de son monde.
A une variante près : le petit peuple est condamné à perpétuellement renforcer le prétendu "barrage sur la rivière Schtroumpf ".
Image d'une certaine acculturation des éléments, mais aussi bien leurre religieux, ou éternel retour d'une société priée de croire à sa continuelle édification.
Dans cette formidable diversion, la déferlante à éviter n'est pas tant celle des eaux que celle des désirs de l'homme.

La Schtroumpfette : importation artificielle (et créée par l'ennemi, bien sûr) de la sexualité dans le village, la Schtroumpfette est, après le Schtroumpfissime, la seconde déflagration d'importance au pays du bonheur.
Une brusque irruption du désir qui n'est pas sans rappeler les thèses reprises depuis, de façon plus caricaturale, par Michel Houellebecq. Au propre comme au figuré, la Schtroumpfette brisera le barrage.
La question sera là aussi résolue par un renoncement collectif, concrétisé par le départ de l'intruse, puis par son installation dans la série comme objet désexualisé.
Il ne sera presque plus jamais fait allusion à ses fonctions reproductrices ou érotiques. Dans l'apparente réconciliation entre Nature et Culture, il suffisait d'appauvrir la première, de la désincarner.
Autre façon de fuir l'écoulement du temps.



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