Ze Jacky Show !

 

On rigole on s'amuse, mais il est temps pour moi de tenter de récupérer un peu de tunes grâce à ce site ... c'est pourquoi nous proposons à la vente les scénarios suivants : inspirés du monde des Jackys, ils peuvent aisément donner lieu à des séries télé ou des longs métrages. Toute ressemblance avec des séries ou films existants ne serait évidemment que pure coïncidence.

 


[Friends]

3 Jackys (Johnny, Kevin et Brandon) et 3 Jackettes (Cindy, Jennifer et Joy) habitent deux apparts sur le même palier d'un immeuble de la ZUP. Chacun a son propre caractère : Johnny est un abruti, Kevin un gros abruti, et Brandon le dernier des abrutis. Cindy est une pouffiasse, Jennifer une grognasse, et Joy une radasse.

Mais ils sont tous copains : ils se chamaillent (par exemple, la voiture de Johnny est plus puissante, mais celle de Kevin est montée en 19 pouces, quant à Brandon, il a rabaissé son tas de tôle de 25 cm), ils niquent entre eux de temps en temps (mais ils sont malins, les Jackys : c'est un mec avec une fille à chaque fois), mais au final c'est pour rire et distraire les beaufs.

Les scénarios ne sont pas trop compliqués, et doivent se résoudre en 26 minutes : "Ou c'que j'ai mis ma 4ème jante ?", "Rose fuschia ou vert pistache ?", "Celui qui voulait rabaisser sa suspension", etc etc. Bref, que du culturel.

 


[The Jackix]

Un Jacky se réveille un matin, et découvre qu'il a vécu toute sa vie dans une illusion : il croyait être le maître du monde avec sa bagnole rutilante de chrome et d'autocollants à la con, alors qu'en fait il vit dans un monde horrible (situé exactement à notre époque) où chacun possède une bagnole normale, et où il redevient un gros naze poursuivi par le bon goût. L'horreur intégrale !

Avec "The Jackix" préparez-vous à believer le unbelievable.

 


[Jacky leap]

Un Jacky invente (on se demande comment) une machine spatio-temporelle qui déconne à la première utilisation. Il se met alors à voyager de Norauto en Norauto à la recherche de ce qui lui permettra de rentrer définitivement à la maison : un beau jeu de jantes 19 pouces pour sa Fiat Uno.

Bien sur, ça dure durant 150 épisodes, et il rencontre à chaque fois tout un tas de clients bizarres autant qu'étranges.

 


[The Jackys of Hazzard]

Deux Jackys dans une bagnole ridicule passent leur temps à semer des flics en roulant trop vite, en faisant des gros dérapages comme des couillons, accompagnés d'une grosse poulasse habillée vulgaire comme c'est pas permis.

Euh ... finalement, pas la peine d'en faire une série, c'est déjà comme ça dans la vie.

 


[The Return of the Jacky]

Cette fois, Jacky revient et il est vachement fâché : son père lui a coupé les vivres parce qu'il a loupé pour la 11ème fois (à 29 ans) son CAP "Pâte à modeler", alors il peut pas s'acheter les jantes de ses rêves pour les mettre sur sa Fiesta.

Il réunit tous ses potes les rebelz pour aller foutre sur la gueule du paternel dans son propre garage géant, et le père et le fils finissent par se foutre sur la tronche à grands coups de néons-qui-brillent-la-nuit-que-même-que-c'est-un-trucage-super-bien-fait.

Le vieux se prend la râclée, et au moment de lui piquer son pognon, Jacky se rend compte que sous ses dehors de vieux con puant imbibé de pinard à étoiles, bat le coeur de son gentil pôpa qui le faisait sauter sur ses genoux quand il était petit.

Jacky est super ému, il est prêt à tout pardonner (quitte à ne pas se payer ses jantes), mais alors il se rappelle que les séances de sautage-sur-les-genoux alternaient avec les séances de "viens tâter de mon ceinturon, fils de con, tu vas la sentir dans ta gueule la boucle 'Johnny Hallyday' en argent !", alors il finit son père à grands coups de pot Devil (ça fait super mal).

 


[Sweet Pedal]

Sous ses airs de commercial respecté dans une grande boîte Parisienne, Jacky a en fait une double identité : à peine la nuit tombée, il met sa veste en cuir avec les franges, le survêt Tacchini, la casquette à l'envers et sort son monstre du garage : une Super 5 Five à admission directe et pare-soleil "Over Boost", qui développe la bagatelle de 51 chevaux (52 quand il met du sans plomb 98, mais pas trop souvent sinon ça nique la culasse).

Il part dans des virées sauvages, la tête par la fenêtre en hurlant à la mort, qui l'entraînent au petit matin à faire des dérapages pendant des heures sur le parking désert du Carrefour de La-Queue-en-Brie.

Au petit matin, hagard mais satifsait, il rentre à la maison, prend une douche, remet son costard et repart au boulot avec sa 306 de société et son diesel poussif. Fini, les coups d'accélérateurs rageurs au feu rouge : pour camoufler sa double identité, il doit faire Pédale Douce ...

 


[Beep Beep and the Jacky]

Dessin animé. Un Jacky met en oeuvre des moyens plus pitoyables les uns que les autres (ailerons, spoiler, admission directe, etc) pour essayer de doubler avec sa pauvre brouette un quidam en BMW série 5 qui n'en a rien à cirer, et qui roule sans même s'en apercevoir.

Basée sur le comique de répétition, cette série devra mettre en avant le côté ridicule et vain de la Jackysation automobile (ça devrait pas être trop dur).

 


[The Arrangers]

Kevin et Jennifer écument pendant 15 saisons toutes les casses auto de Seine-Saint-Denis, et enquêtent à la recherche des précieux accessoires automobiles. Il leur arrive bien sûr tout un tas d'aventures étranges : ils se font attaquer par des chiens qui gardent la casse, il découvrent une étrange matière (le "skaï") qui ressemble à s'y méprendre à du cuir (mais qui n'en est pas, faut pas les prendre pour des cons non plus), ils rencontrent des gens qui parlent une langue bizarre (c'est à dire : des phrases avec sujet + verbe + complément, et sans "enculé", ni "connard" et encore moins "ch't'emmerde").

Kevin est super élégant, puisqu'il a toujours sa chemise en jean assortie à son jean, et aux sièges de sa 205 Junior. Jennifer essaie d'être excitante sans être vulgaire, mais au final ressemble plutôt à une grosse knacky Herta emballée dans du plastique turquoise.

 


[Hélène and the Jackys]

Thème récurrent : Migraine ou pas migraine, Hélène se fait invariablement tringler tous les samedis soirs sur la banquette arrière de la 205 GTI de son Jacky. La célèbre "cafète" est avantageusement remplacée par le garage du pote Marcel, où se situe la quasi-totalité de l'histoire, constituée d'interminables palabres sur les qualités respectives des pots d'échappement X ou des paupières de phares Y.

Pour varier les plaisirs, on peut aussi jouer sur la misère sexuelle qui règne dans ce milieu : Kevin (et son QI de coccinelle) réussira-t-il à se taper Jennifer ? Cindy cèdera-t-elle aux avances contre nature de Johnny ? Sous les moqueries répétées de ses potes, Dylan laissera-t-il tomber cette grosse pouffiasse de Joy, qui se fait mettre par tout le Tiouning Club, mais dont il reste désespérément amoureux ?