Oui. Que tous ces hommes qui se vantent d'être as se souviennent de leur place et marchent la tête basse. Ils parlent de tout en maître, dans les hautes sphères se classent, attendent qu'on se soumette, qu'on lèche leurs godasses.
Force m'est de leur dire, écrire : " Hé non, hélas ... ", que l'on ne peut argumenter, quoi qu'on y fasse sur des sujets considérés, cela m'agace, scindés des autres, uns, seuls.
Jusqu'ici, à ce jour, tout est lié à tout. Alors, coriaces esprits, levez un peu les yeux vers ce où j'aspire, essayer de gravir : rien ne vous tracasse. De là verrez le Tout ; je vous garantis las de discussions stériles car fondues dans la masse. Et ceux des plus bornés, excusez-moi : tenaces, déjà me rient au nez, me souhaitant toute l'angoisse de ne pas exposer, donc d'être dans l'impasse, des théories de cette masse que l'on fracasse.
Qu'un regain de sagesse lentement leurs liens délace. Qui ne se hissera déshonore la Race(*), ce qui arrive chaque jour qui passe. C'est assez ! Leurs belles pensées montrent bien la crevasse de leur âme. et partout dans ses rouages la crasse, la poisse, qui empêchent sain fonctionnement et qui m'exaspère ; jamais face aux autres leurs pieds sur la paillasse n'essuie. Et emplie de poison est leur besace.
Voyez l'entremêlement immense, intemporel
Des énergies spirituelles et corporelles.
Une petite part d'idéalisme pur au creu de mon coeur ...
Quand certaines de mes attitudes s'accomplissent avec rancoeur
J'aimerais au fond de mon âme aider à la renaissance.
Puisse un jour le mot Vie recouvrer son essence